Ce jour-là j’ai compris que ce qui me manquait—ce dont j’avais soif—pour le vrai de vrai—c’était pas du temps. C’était du vide. Dans un monde de plus en plus remplit aux rebords d’images et de sons et d’opinions et de ceci et de cela aussi, j’avais manque de farniente, de rien, d’absence, de je m’en foutisme, de vide non à remplir au plus vite—mais à savourer.